«La présence des ailés solitaires et les conditions
météorologiques favorables laissent présager des reproductions à petite
échelle au sud et sud-est du pays au cours des semaines à venir. Par
ailleurs, la situation de plus en plus préoccupante dans les pays du
Sahel, incite à plus de vigilance afin de faire face à tout
développement de la situation acridienne au Maroc». L’appel émane du
Centre national de lutte antiacridienne après qu’il a constaté que les
conditions climatiques actuelles risquent de favoriser le pullulement
des criquets. D’où davantage de vigilance pour parer à toute
éventualité.
Des ailés solitaires en effectifs faibles à modérés et, peut-être, quelques petits groupes vont, selon les prévisions de la FAO, apparaître dans les zones méridionales de nos provinces sahariennes. Une reproduction à petite échelle aura lieu dans les zones à forte précipitation et pourrait entraîner la formation de petits groupes. Ce qui ne peut laisser indifférents les services chargés de la lutte contre ce fléau qui avait ravagé le Maroc au cours des années 80.
Toutes les mesures ont été prises pour assurer notamment la surveillance et le suivi à travers la mobilisation d’équipements, d’équipes terrestres mobiles et l’appui logistique sur le terrain. 14214.5 hectares ont été traités jusqu’en juillet dernier dans le cadre d’un plan d’action mis en place et scrupuleusement respecté depuis lors.
Il convient de rappeler que la lutte antiacridienne s’organise au Maroc par des interventions aériennes de la gendarmerie Royale, ainsi que par des actions sur le terrain via des saisonniers recrutés par le ministère de l’Agriculture.
Des ailés solitaires en effectifs faibles à modérés et, peut-être, quelques petits groupes vont, selon les prévisions de la FAO, apparaître dans les zones méridionales de nos provinces sahariennes. Une reproduction à petite échelle aura lieu dans les zones à forte précipitation et pourrait entraîner la formation de petits groupes. Ce qui ne peut laisser indifférents les services chargés de la lutte contre ce fléau qui avait ravagé le Maroc au cours des années 80.
Toutes les mesures ont été prises pour assurer notamment la surveillance et le suivi à travers la mobilisation d’équipements, d’équipes terrestres mobiles et l’appui logistique sur le terrain. 14214.5 hectares ont été traités jusqu’en juillet dernier dans le cadre d’un plan d’action mis en place et scrupuleusement respecté depuis lors.
Il convient de rappeler que la lutte antiacridienne s’organise au Maroc par des interventions aériennes de la gendarmerie Royale, ainsi que par des actions sur le terrain via des saisonniers recrutés par le ministère de l’Agriculture.
Source:http://www.libe.ma